Robocopy est apprécié pour ses fonctionnalités largement supérieures à celles des commandes internes copy et xcopy de Windows, en particulier :
- Une tolérance à la perte du lien réseau et reprise de la copie une fois ce lien rétabli (les fichiers incomplets sont datés au 1er janvier 1980 et contiennent une information de reprise, de sorte que Robocopy sait où reprendre la copie).
- La préservation des attributs de fichier et métadonnées temporelles, du créateur propriétaire, des ACLoptions en ligne de commande (
/COPYALL
ou/COPY:
). Les versions plus récentes sont également capables de préserver les métadonnées temporelles des répertoires (/DCOPY:T
). NTFS et des informations d’audit en plus du contenu brut des fichiers grâce à des - La possibilité de garantir un « droit de sauvegarde » Windows NT (
/B
) ; de sorte qu’un administrateur puisse aussi copier les fichiers dont la lecture lui est normalement refusée. - Une copie persistante, avec la possibilité de préciser le nombre de nouvelles tentatives à opérer sur un fichier qui ne peut pas être ouvert.
- Un mode « miroir » qui permet de copier et, de manière optionnelle, de supprimer les fichiers de l’emplacement de destination s’ils n’existent pas ou plus dans l’emplacement source.
- La capacité de ‘sauter’ les fichiers existant déjà dans l’emplacement destination avec la même taille et les mêmes métadonnées (copie différentielle).
- Un indicateur de progression dans l’invite de commandes.
- La possibilité de copier des fichiers et des répertoires dont les noms excèdent les 256 caractères (jusqu’à 32 000 caractères de limite théorique) sans erreur[1].
- Des copies effectuées en parallèle (multithread, sous Windows 7 uniquement) [2].
- Le support de codes de retour[3] pour la programmation de fichiers batch.
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